« Tous les quatre ans, nous initions une étude de lectorat à des fins d’amélioration constante de notre magazine Confluence. Dans le cas présent, l’étude était indispensable car nous opérons une refonte totale de notre formule. L’enquête, très qualitative qui a été menée, comprend des recommandations que nous avons transmises aux sociétés candidates. Ceci, afin qu’elles intègrent – dans leurs futures offres – les préconisations énoncées et répondent – au plus près – aux attentes de notre nouvelle formule » déclare Chantal Mariotte, chargée de Communication à l’AESN et rédactrice en chef de Confluence.
« La particularité d’ECINS est de proposer une véritable étude qualitative. Nous sommes dans le sur-mesure, l’objectif étant de passer du temps avec chaque interlocuteur/trice, de rebondir sur ses propos et d’affiner les ressentis librement exprimés sous anonymat.
La qualité de l’entretien individuel est – ici – la clé du succès. L’étude va très loin dans l’analyse. Je trouve important de faire savoir que 35 personnes interviewées individuellement, c’est peu en nombre mais TRES riche en informations.» poursuit Chantal Mariotte.
Les entretiens, représentatifs de l’ensemble des acteurs ont notamment été réalisés auprès de cibles difficiles à joindre : présidents et directeurs de syndicats, de maires, d’industriels, d’exploitants agricoles, etc.
« L’étude de lectorat qualitative a été soutenue par une enquête quantitative dans laquelle se retrouvent les mêmes sujets et des propositions pour l’évolution du magazine. Diffusée à tous les abonnés, cette enquête quantitative vient conforter – sans contradiction aucune – les premiers résultats qualitatifs. Cela rassure quant à l’élargissement du panel interrogé, » analyse Chantal Mariotte.
« De nombreux points très positifs ont été soulevés dans cette étude de lectorat. Le magazine est donc un investissement rentable. C’est une belle surprise et une satisfaction pour nous.
Autre enseignement : du côté des lecteurs, la perspective d’une version numérique est peu souhaitée.» annonce Chantal Mariotte.
« La promotion de cette étude de lectorat a été faite en interne grâce à une synthèse ainsi qu’un lien permettant de consulter l’intégralité de l’étude.
Le magazine est un véritable « outil institutionnel »,, très bien perçu donc le temps que consacre le personnel à la communication est plus que judicieux. Il faut le faire savoir.
La restitution de l’étude de lectorat a permis de valoriser le travail interne tout comme le travail de l’agence de communication » conclut Chantal Mariotte.
Les recommandations servent concrètement aux agences de communication à l’occasion du renouvellement du marché. Evolution du magazine dans les mois à venir !
Patricia Marchat, précise : Il n’est pas aisé d’être lu à l’externe sauf si vous avez le bon positionnement et que vous vous rendez utile… Ce magazine brille par la qualité de son contenu. Son audience auprès des élus est un véritable exploit car c’est une cible « sur » sollicitée. En effet, la proportion d’élus parmi les lecteurs du magazine Confluence est de 26%. L’autre cible prépondérante de Confluence est composée de Dirigeants, gérants et exploitants agricoles puis de personnels dans l’industrie, les associations et administrations. Au total 33 000 personnes sont visées. Nous avons réalisé des études de lectorat sur d’autres supports, qui essayaient vainement de toucher des élus, l’audience était quasi nulle et l’investissement inutile car ils n’apportaient pas d’informations utiles et ne savaient pas se démarquer dans l’océan des publications.
Confluence est intéressant et particulièrement bien positionné car ses sujets sont en phase avec leur dossier dans le domaine de l’eau et l’environnement.
L’étude qualitative permet de déceler l’image que vous véhiculez. L’iconographie, les sujets, le style, le ton, l’écriture, le format… en disent très long sur vous. Pour Confluence le retour sur investissement est là. Il sert l’image de l’Agence de l’Eau Seine Normandie. Il porte les politiques, sensibilise, apporte une expertise, des clés de compréhension, présente des actions et des bonnes pratiques. Cette perception positive rejaillit en interne sur les hommes et les femmes qui font de cette institution.